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28 janvier 2017 6 28 /01 /janvier /2017 22:05

Ce site a migré vers sa nouvelle adresse (avec moins de pub) :

accessible bientôt via l'adresse de redirection :

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18 octobre 2016 2 18 /10 /octobre /2016 10:00

Dimanche 16 octobre 2016, en la Cathédrale de Rodez, Mgr François Fonlupt a ordonné diacre en vue du presbytérat, Manoj Visuvasam, originaire du Tamil Nadu (Inde).

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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 09:20

JMV 2016

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 00:26

Dimanche 26 avril, 4ème dimanche de Pâques, a lieu la journée mondiale de prière pour les vocations. En vue de cette journée, voici quelques témoignages de jeunes prêtres (JP) des provinces de Toulouse et Montpellier - i.e. de la future nouvelle grande région - réunis à Monteillas-las-Illas (Pyrénées Orientales) pour leur session de formation de "JP"...

 


La joie d'être prêtre par quelques jeunes prêtres interrogés par le p. Raphaël Bui

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 15:51

Dossier d'animation du SNEJV 2013Le dossier 2013 d'animation proposé par le SNEJV (Service National pour l'Evangélisation des Jeunes et pour les Vocations) sur le thème "Les vocations, signe de l’espérance fondée sur la foi" est disponible auprès du curé de votre paroisse. N'hésitez pas à le lui demander !

 

Sr Aline Boutonnet (SDV 12) a repris quelques éléments de ce dossier pour en présenter le contenu :

- des pistes de réflexion sur le thème de l’Espérance, le retour aux sources de l’Évangélisation, sur la nouvelle approche des vocations suscitée par le Concile Vatican II.

- des pistes pour inscrire la liturgie du 4ème dimanche de Pâques (21 avril 2013) dans une démarche itinérante.

- des éléments pour construire une veillée à partir de témoins qui ont espéré contre toute espérance.

- un jeu de l’oie : qui donne, pour les enfants, un aspect ludique à la découverte des diverses vocations (enfants).

- des composantes, proposées par le MEJ, pour une après-midi avec des adolescents (adolescents).

- la pédagogie du frère John-Noël de Taizé, pour faire découvrir aux jeunes que « Dieu est à l’œuvre en eux » (16-25 ans).

- une fiche d’accompagnement des jeunes soit aux JMJ soit dans les rassemblements organisés en France, en vue d’une démarche vocationnelle (18-30 ans).

- la fiche extraite du livre « la morale, pédagogie du bonheur » rédigé par l’Aumônerie de l’enseignement public (18-30 ans).

Quelle est ma vocation ?- quelques règles de discernement spirituel jésuite (18-30 ans).

- une fiche sur « le volontariat : porte vers l’engagement » (18-30 ans).

- Lourdes, avec ses animations et activités possibles dans l’espace « choix de vie » (enfants et jeunes).

- Internet : le site revisité du SNEJV et ses nouveautés, en particulier le nouveau site http://quelleestmavocation.com

- des outils et des idées d’animation.

- le catalogue des productions pour l’Évangélisation des jeunes.

 

Pour une présentation plus détaillée, cliquer ICI.

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 15:00

Appeler à devenir prêtre

Réflexions sur la responsabilité de tous dans l'appel au ministère presbytéral

Ne nous le cachons pas, il est difficile aujourd’hui d’appeler un jeune ou un adulte à devenir prêtre. En moins de deux générations, l’affaiblissement de la place du prêtre dans la société - et peut-être aussi dans l’esprit de certains chrétiens ne voyant en lui que l’homme des sacrements, voire des obsèques -, le caractère exceptionnel d’un tel état de vie, du fait du célibat et d’un style de vie en rupture avec la société (deux éléments qui peuvent marginalement attirer certains tempéraments valorisant cette rupture), la diminution du nombre de prêtres en France, la surcharge qui en résulte pour ceux en activité, les qualités requises pour être responsable de communauté, la longue formation qui y prépare… mais aussi une image dégradée par des scandales comme celui de prêtres pédophiles, tout cela fait de la vocation presbytérale une sorte d’anormalité. Des amis chrétiens confiaient récemment que pour bien des gens de leur entourage, le « coming out » homo d’un fils choquerait moins que l’annonce d’un désir de devenir prêtre !

Et s’il pouvait être « normal » d’appeler à devenir prêtre ?

Être prêtre n’est certes pas un métier comme les autres, mais il est possible d’en parler à l’aune de critères utilisés pour juger d’autres métiers. Une enquête 2011 de l’université de Chicago sur l’indice de satisfaction professionnelle aux Etats-Unis, place les hommes d’Eglise - « clergy » - en 1ère place dans le classement des métiers qui rendent le plus heureux, devant les pompiers, les kinésithérapeutes, les écrivains, les éducateurs spécialisés…  Sont invoqués par ces heureux professionnels des critères de satisfaction autres que le salaire ou le pouvoir, mais fondés plutôt sur la force et la qualité des relations liées au métier, le fait que le métier ait du sens, qu’il soit utile et que la personne qui l’exerce puisse s’y engager à fond. Certes, il s’agit des Etats-Unis où le prêtre n’a pas le même statut qu’en France, mais les critères restent les mêmes. La vie d’un prêtre - français ou américain - est profondément relationnelle, reliée à Dieu et à l’humanité, équilibrant action et contemplation, vie sociale et solitude, vie spirituelle et service d’autrui, approfondissement de la foi et annonce de celle-ci, réception et transmission de la grâce : c’est de fait un métier magnifique, ce dont nous, prêtres, ne témoignons pas assez, par pudeur, respect humain ou… activisme.

Mais cette approche en terme de métier ne suffit évidemment pas, et pourrait même verser dans le travers contemporain, à la fois individualiste et libéral, où tout ne serait finalement que recherche d’un accomplissement ou d’un épanouissement personnel, c’est-à-dire centré sur soi, et où le service d’autrui ne serait en fait qu’une manière de se réaliser, de se rechercher, de viser son propre bonheur.

Un engagement d'amour

Ëtre prêtre est en réalité une vocation, un engagement-d’amour-pour-la-vie, où la décision de devenir prêtre relève d’une liberté qui est moins d’initiative (partant de soi), que de consentement (à l’initiative d’un autre). Il s’agit moins de vouloir ou de désirer être prêtre, que de répondre à un appel du Christ antérieur à toute décision, un appel qui prolonge et spécifie l’appel adressé à tout baptisé d’être « saint », c’est-à-dire de laisser le Christ vivre en lui, de donner à sa suite sa vie par amour de Dieu et des hommes, et par là de réenchanter le monde. Pour le prêtre, cela suppose d’être disponible à servir, « si Dieu le veut et si l’Eglise l’appelle ».

Le décentrement que cela suppose peut sembler hors-norme, alors qu’il est en fait commun à toute vocation. Ainsi, contrairement à la formule consacrée (qui n’est d’ailleurs plus celle du rituel du mariage), un fiancé ne « prend » pas une femme pour épouse, mais il la « reçoit », ce qui sous-entend que la demande de cette dernière : « veux-tu être mon mari ? » soit antérieure au « oui, je te reçois comme épouse » que son fiancé lui dit ensuite. En tout engagement d’amour, tout se passe comme si l’amour de l’autre était donné gratuitement et antérieurement à l’engagement que l’on prend à son égard, en réponse à cet amour inconditionnel.

De même, être prêtre, c’est pour un chrétien une réponse possible à la question inhérente au baptême – de par la conversion que le baptême suppose ou à laquelle il dispose : « comment rendrai-je au Seigneur tout le bien qu’il m’a fait ? » (Ps 115) Se découvrir infiniment aimé de Dieu, inconditionnellement, sans réserve, jusqu’au don que le Christ fait de sa vie, implique de se savoir appelé à faire de sa vie une réponse à cet amour. C’est l’appel universel à la sainteté.

L'appel de l'Eglise

Qu’est-ce qui fait alors que pour certains, cet appel général se traduise en appel particulier à donner sa vie à l’Eglise, pour à travers elle servir Dieu et les hommes ? 

L’analogie du mariage peut être éclairante, car c’est l’appel que l’Eglise adresse à un homme : « veux-tu me consacrer ta vie ? » qui est susceptible de susciter son consentement. C’est alors la vitalité d’une communauté chrétienne, l’amour évangélique dont elle vit déjà et dont un de ses membres a fait l’expérience préalable en son sein, qui donne force à l’appel qu’elle lui adresse pour servir cette vie en Christ, à vivre le don total de sa vie à l’Eglise, comme collaborateur de l’évêque, membre d’un presbyterium, pasteur attentif aux fidèles de l’Eglise et missionnaire à l’égard de tous. Cela requiert un sacré désintéressement de la part de cette communauté, de ceux qui appellent, car on n’appelle pas pour soi, mais pour un service d’Eglise au-delà de la communauté qui appelle. 

La désacralisation du prêtre évoquée au début de cet article, peut être alors le préalable à une consécration qui ne soit pas la mise au pinacle d’un projet ou d’un parcours certes généreux ou extraordinaire - au risque de n’être que personnel voire individuel - mais la mise en œuvre d’un projet ecclésial dont l’Esprit Saint est le premier acteur, où le « oui » d’un homme serait relatif à l’appel que lui adresse l’Eglise (c’est-à-dire n’importe quel membre de la communauté chrétienne, avant que l’évêque authentifie cet appel), où l’audace d’appeler aurait autant d’importance que celle de répondre, où serait couronné le souci porté par tous, et non des seuls pasteurs, d’ « appeler des ouvriers pour la moisson ».

A l’inverse de ce que certains disent pour penser le célibat du prêtre, le prêtre n’est pas plus « marié » à Dieu que ne l’est tout chrétien, car l’alliance avec Dieu se réalise dans le baptême, qui greffe l’homme au Christ, qui l’y plonge tout entier. Mais, ce sont des épousailles que le prêtre vit avec l’Eglise, vécues librement, fidèlement, pour toujours et pour donner la vie, et auxquelles convient son célibat, nonobstant ce qui a pu ou pourrait varier dans la discipline de l’Eglise à cet égard.

Être pierre d'Eglise

La veille de mon ordination diaconale, une fillette de mes amis me demandait ce que c’était qu’une ordination. Lui répondant que c’était comme un mariage-avec-l’Eglise, elle me redemanda : « Comment tu vas l’embrasser, l’église ? Tu monteras sur une échelle ? » Je lui répondis dans le sens de ce que j’avais lu dans Ma vocation, le beau livre de Jean-Paul II, que ce moment serait celui de la grande prostration, visage contre le sol pour l’embrasser, pour signifier le lien indissoluble reliant le prêtre à une terre, à une culture, à une portion d’Eglise, pour faire corps avec cette terre, être pierre d’Eglise, non pas clé de voute en haut de l’édifice, mais à ras le sol, pour qu’en s’appuyant sur nous, les autres s’élèvent plus haut.

Jeudi Saint, 28 mars 2013

p. Raphaël BUI

Service Diocésain des Vocations

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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 18:12

Cliquer ici pour une version pdf du

- Les trappistines de l’abbaye cistercienne de Bonneval
- L’abbaye de Sylvanès
- L'abbaye de LOc-Dieu
- Les Dominicaines de Notre-Dame du Rosaire
- Les Dominicaines de Gramond
- Les Franciscaines de Rodez
- Les Clarisses en Aveyron
- Les Chartreusines de Nonenque
- Les Carmélites en Aveyron
- Les Ursulines de Malet
- Les Bénédictines du Saint Sacrement
- Les Sœurs de l’union Saint François de Sales
- Les Sœurs de Saint Joseph
- Les Sœurs de Jésus Serviteur
- Les Anawim
- Les Sœurs de Saint Joseph l’Apparition
- Les Sœurs de la Sainte Famille
- Les Marianistes
- Les Picpusiens de Graves
- Les Clercs de Saint Viateur
- Les Prieurés montfortains de Comberoumal et du Sauvage
- Les Prémontrés à l'abbaye de Conques

 

En 2012, la journée mondiale de prière pour les vocations se situe dans le cadre de l’année "Promouvoir la vie consacrée" qui va du 2 février 2012 au 2 février 2013, en lien avec le thème proposé par le pape Benoît XVI : "Les vocations, dons de l’amour du Christ".

Pour favoriser une meilleure connaissance de la réalité de la vie religieuse si présente dans le diocèse de Rodez, le Service Diocésain des Vocations et l'équipe de rédaction du numéro d'été des journaux paroissiaux "Chez Nous" a consacré le numéro de l'été 2012 à "La vie religieuse à deux pas de chez vous". Il présente en 8 pages sous forme de guide une vingtaine de lieux que des communautés religieuses ou monastiques marquent ou ont marqué de leur empreinte : une invitation à les découvrir in situ. Il a manqué de la place dans ce numéro pour mentionner tous les lieux passés et présents de la vie religieuse en Aveyron, notamment, les Soeurs servantes du Sacré-Coeur de Versailles (à la Clauze, Réquista), les soeurs de Nevers (La Primaube), la communauté de l'Arbre de Vie (Veuzac), l'abbaye de Bonnecombe...

 

Par le don de l’Esprit Saint reçu au baptême et à la confirmation, tout chrétien est consacré "prêtre, prophète et roi" : telle est la vocation commune de tout baptisé ! Des hommes, des femmes choisissent pourtant de la vivre par le choix peu commun de la vie "consacrée", impliquant l’engagement à suivre radica¬lement le Christ, dans la chasteté qui ouvre gratuitement à l’autre, l’obéissance qui libère de la volonté de domination, et la pauvreté qui détache de la possession égoïste. Le caractère exceptionnel – plus exactement prophétique – de telles vocations est en fait au service de la vocation de tous, car il nous dit quelque chose de nous-mêmes, du rapport à Dieu, aux autres et à nous-mêmes auxquels nous sommes tous appelés. Est-ce cela qu’ont goûté les 3,2 millions de spectateurs du film de l’année 2010-2011 : « DES HOMMES ET DES DIEUX » ? Ces moines cisterciens de Tibhirine dans la particularité de leur engagement témoignaient jusqu’à l’universel, du sens des mots croire, espérer et aimer, vivre et mourir, être fidèle et porter du fruit…

Nous avons préparé ce numéro de Chez Nous avec les congrégations ou communautés religieuses, dans cet esprit : inviter à goûter in situ, ici en Aveyron, une rencontre avec tel ou telle de ces consacrés, ceux d’hier, mais surtout ceux d’aujourd’hui, dont les vies données à Dieu, peuvent aussi éclabousser ceux qui s’en approchent.


Une version pdf (2 Mb) de ce hors-série de Chez Nous (été 2012) est téléchargeable ICI ou en cliquant sur l'image.

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 18:08

Le pape Benoît XVI avait décrété pour 2009-2010, une « année sacerdotale… pour favoriser cette tension des prêtres vers la perfection spirituelle dont dépend avant tout l'efficacité de leur ministère... pour faire comprendre toujours plus l'importance du rôle et de la mission du prêtre dans l'Eglise et dans la société contemporaine. »

Cette année s'est conclue en beauté par le "Dimanche Diocésain Autrement", le 27 juin 2010, avec l'ordination de Florent Dixneuf, le forum de l'Eglise - avec des échanges de pratiques, et le stand remarqué de la vie religieuse ! - mais aussi de multiples jubilés dont celuis des 20 ans d'épiscopat de Mgr Bellino Ghirard. Les jardins de l'évêché transformés en aire de pique-nique géant, une cour fourmillant d'idées et de projets pris dans les filets de la pastorale, des jeunes rassemblés pour l'occasion à Saint Pierre, une cathédrale comble : c'était l'Eglise, telle qu'elle est et aime se donner à voir !

Pour l'occasion, le Service des Vocations a interviewé plusieurs dizaines d'enfants, de jeunes, mais aussi de prêtres pour réaliser la vidéo ci-dessous (8'34), sur ce qu'est un prêtre, et qui a inauguré l'ordination de Florent :

 


Le Service des Vocations a aussi publié chaque mois de l'année sacerdotale 2009-2010 dans les journaux paroissiaux Chez Nous une page sur un aspect de la vocation du prêtre, à partir d'un portrait biblique :

ABRAHAM - Un aventurier de la foi
JACOB - Père par delà la faiblesse
MOÏSE - Nourricier pour son peuple
SAMUEL - A l’écoute de La Parole
DAVID - Familier de Dieu
JONAS - Témoin malgré lui
JEREMIE - Le souci de son peuple
MARIE - Faire grandir le Christ
PIERRE - Serviteur de l’unité
MARTHE ET MARIE - Fraternité et service d’amour

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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 13:24

Venez et voyez !Bienvenue sur le site du Service des Vocations du diocèse de Rodez, réalisé à l'intention...

- de ceux qui s'intéressent à la pastorale des vocations, ou à la dimension vocationnelle de toute pastorale, en particulier les laïcs délégués par leur doyenné pour faire partie du réseau-vocations du diocèse, ou ceux intéressés par les projets du SDV ou les propositions d'animation du Service National des Vocations (dossier d'animation en lien avec la journée mondiale de prière pour les vocations, disponible au SDV, 6 €).

 

Discerner

- de ceux ou celles qui s'interrogent sur une vocation spécifique - prêtre, religieuse, religieux, missionnaire...- au service du monde et de l'Eglise ; le SDV leur propose divers moyens pour avancer dans le discernement d'une telle vocation :

- une rencontre avec un prêtre, une religieuse, un religieux, des laïcs du SDV ;
- de l'aide pour trouver un accompagnateur spirituel (ne faisant pas partie de l'équipe du SDV).
- des rencontres avec d'autres jeunes de la région qui portent les mêmes interrogations : 5 dimanches (9h30-17h) dans l'année, à Saint Sulpice (81) plus une retraite ignatienne de 5 jours.
- la proposition d'une session de jeunes de 18-25 ans se posant la question : "prêtre, pourquoi pas ?" (session Saint Irénée, début août à Dijon, inscription et prise en charge par le SDV) ; 
- des propositions de formations sur le diocèse pour une intelligence de la foi et de retraites spirituelles adaptées aux besoins de chacun ;
- l'élaboration d'un parcours de discernement compatible avec la situation personnelle de chacun (études, activité professionnelle...).

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 14:13

Dieu a besoin de chrétiens vivant à fond leur baptême, qui se donnent à la manière du Christ, dans un engagement total pour l'amour de Dieu et pour l'amour du prochain. 1756 baptêmes ont été célébrés dans le diocèse de Rodez en 2008.


Dieu a besoin d'époux chrétiens acceptant que leur amour soit le signe de l’amour fidèle, indissoluble et fécond dont Il aime l’humanité. 546 mariages ont été célébrés en 2008.


Dieu a besoin de religieux, de religieuses, de consacrés qui signifient par leurs voeux que l’argent, la sexualité, le pouvoir n'ont de sens qu'en vue du Royaume, et que Lui seul suffit.


Dieu a besoin de diacres pour être des hommes du seuil, hommes d’Eglise et hommes au milieu des hommes ; pour que "servir" ne soit pas seulement affaire de générosité ou de talent, mais réponse à une mission, en Eglise. Jean-Pierre Flak a été ordonné en 2008 pour rejoindre les 11 autres diacres permanents du diocèse. Les dernières ordinations de diacres permanents datent de 2000 (1), 2002 (2), 2003 (2), 2007 (1).


Dieu a besoin de prêtres, pour être signes du Royaume par les sacrements (moyens ordinaires de sanctification), l’enseignement (prédication, témoignage) et le service du peuple de Dieu. Bernard Molinier a été ordonné prêtre en 2008. Florent, séminariste en 5ème année de séminaire, vient d'être ordonné à Millau diacre en vue du ministère presbytéral. Fabien après une année propédeutique à Aix en Provence, entre en septembre 2009 au séminaire régional de Toulouse. Le diocèse de Rodez prend aussi en charge les études de Jublee, entrant en 4ème année de séminaire à Chennai (Inde).


En 2009, le clergé aveyronnais compte 232 prêtres, dont 135 en activité dans le diocèse. 25 prêtres ont moins de 60 ans, et parmi eux, 11 moins de 45 ans. Leur moyenne d'âge est de 76 ans. Au 1er janvier 2007, la moyenne d'âge des prêtres diocésains était de 75 ans et 2 mois.

 

Les dernières ordinations de prêtres diocésains datent respectivement de 2008 (1), 2007 (1 pour le diocèse de Hanoï), 2006 (1), 2003 (1), 2002 (2), 2000 (1), 1992 (1), 1988 (2).


Ci-dessous la pyramide des âges au 1/12/2005 et au 1/12/2007.


Pyramide des âges 2005

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